
Le 16 mai 2020, l’Église a célébré le centenaire de la canonisation de Jeanne d’Arc. Comment une jeune bergère lorraine peut-elle encore nous parler aujourd’hui ? Continuer la lecture
Le 16 mai 2020, l’Église a célébré le centenaire de la canonisation de Jeanne d’Arc. Comment une jeune bergère lorraine peut-elle encore nous parler aujourd’hui ? Continuer la lecture
Charles Péguy évoquait sainte Jeanne d’Arc comme « la fille la plus sainte après la Sainte Vierge. » Elle fut un modèle pour une jeune normande : sainte Thérèse de Lisieux, qui était impressionnée par le témoignage des Bienheureuses Carmélites de Compiègne et par celui de Jeanne d’Arc. Oui, Jeanne d’Arc est un modèle pour nous. Au moment où l’on déboulonne les statues, nous devrions ériger des représentations de la sainte de Domrémy. Elle symbolise l’union de notre pays. Elle a su réunir monarchistes et républicains, anticléricaux et catholiques, le Saint-Siège et la France, fille aînée de l’Eglise. Le 10 juillet 1920, les députés adoptent le texte de Maurice Barrès : « La République française célèbre annuellement la fête de Jeanne d’Arc, fête du patriotisme ». Quelques jours auparavant, le 16 mai 1920, sans doute pour la dernière fois, la France était unie pour la canonisation de la « Pucelle d’Orléans ».
Le 9 avril dernier, le pape François a publié une nouvelle exhortation apostolique consacrée à l’appel à la sainteté dans le monde contemporain. Continuer la lecture
« Votre fils a sept jours à vivre » La sentence est tombée. La médecine s’est prononcée. Mes parents sont en larmes. Ma future épouse est effondrée. Pour abréger mes souffrances, faudrait-il me faire « mourir dans la dignité » ? La question aurait pu être posée. Ni mes parents, ni ma future épouse n’y ont pensé. Ils ont choisi de prier. Quant à moi, j’étais bien incapable de penser sereinement, ni même de prier. Dans cette unité de soins intensifs, seul contre l’ensemble du service, mon chirurgien pensait que ma mission n’était pas terminée. Mon état s’est amélioré contre toute attente. J’ai ressenti la force de la prière… non pas la mienne mais celle des autres. Nous pouvons aussi appeler cela la force de l’Amour. Vingt jours se sont écoulés et j’ai quitté le service sans séquelles et en marchant. Le chef de service a reconnu qu’il n’y croyait pas à mon arrivée. Douze ans après, j’ai fondé une famille et toute cela n’est qu’un mauvais souvenir, je suis en vie.
Publié dans Echo n°48 – avril 2018
Quelle société voulons-nous ? Devons-nous avoir peur de l’intelligence artificielle, du transhumanisme ? Le développement des technologies interroge notre conscience. Avons-nous pris le temps d’y réfléchir ?
Avez-vous vu dans les magazines ou sur des affiches, cette publicité pour une marque de sacs dont le slogan est « l’âme du voyage » ? Avons-nous oublié ce que signifie l’âme pour en faire un outil promotionnel ? Continuer la lecture
Qui n’a pas demandé à saint Antoine de retrouver ses clés ou à sainte Rita de guérir un ami malade ? Quel rôle jouent les saints dans notre vie ? Prier les saints, est-ce bien chrétien ? Continuer la lecture
Au 1er janvier 2018, la loi sur les croyances et la religion entrera en vigueur au Vietnam. Pourtant, ces derniers mois, la liberté religieuse recule fortement. Continuer la lecture
Depuis 1966 et le décret « Christus Dominus » de Paul VI, les évêques démissionnent de leur charge à 75 ans. Ils sont nommés « émérites ». Que deviennent-ils ? Continuer la lecture
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